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GhoSt By ChriS

dimanche 29 juin 2008

L'aMer est DéçUe



Dégustation Fink "Under The Stars"

Un jeu de mot qui en dit long sur un sentiment perturbant.
A mon âge, continuer ainsi ce jeu masochiste sans raison d'être.
Cette chasse à sens unique où je suis la seule à en respecter les regles.
Tirer un grand trait sur une page blanche tachée d'erreurs indélébiles.
Telle est ma mission...
Pleine de mots que je deteste, je lutte contre un moi-même pervers et sournois.
Une guerre sans-merci où le bon sens n'est pas de mise.
Où l'equilibre n'est que futilité, le bonheur, renié, la raison baffouée.
Vive le chaos d'un sentiment diabolique et collant.
Une seconde peau de vie decadente au service d'un amour pourri.
D'un idéal pessimiste sans fondement, d'un espoir pueril à jamais.
Parce que c'est ça mon présent: fantasmer sur un rien qui crie être.
Croire en l'impossible, pourvu qu'il existe.
Le n'importe quoi au masculin.
La haine un dimanche matin ;-)
Le choc répété d'une illusion ratée.
Combien de temps vais-je continuer à me cogner la tête contre les murs?
A me battre contre moi-même?
Obsédée, Lâche, perdue, dieu qu'il doit être bon de se fouetter avec ces mots là.
Quel est donc ce plaisir que je me cache si souvent? Que n'ai-je les stigmates d'une jouissance si forte.
Que la soumise s'exprime et hurle sa douleur au lieu de jouer l'equilibriste enjouée et insensible. Que n'en vois-je au moins la trace. Que cet affront de moi-même eclate au grand jour.
Hypocritement vôtre, j'aime souffrir seule.
Nouvel passion que celle-ci
Passe-temps non favori mais bien nourri...
Je cultive un non-sens, un hersatz du passé imprimé sur mes bottes qui emboite mon pas et me ralenti.
Mais pour combien de temps encore?...

mardi 3 juin 2008

Je tUe IL

Je n’irai pas à ce rendez-vous.
C’est l’ultime test de vérité d’avenir.
Suis-je vraiment faite pour l’adultère ou n’étais-ce fait que pour me permettre de rencontrer ma moitié.
Cendrillon que fit-elle après avoir retrouvé sa pantoufle de vair ?
Continua t-elle à chercher d’autre prince charmant ? Non bien sur, puisqu’elle trouva celui qui la délivra de ses chaînes de belles-soeurs.
Je n’ose le dire autour de moi, à mes amies, ma famille. Leurs avis ne serviront qu’à renforcer d’avantage le doute qui persiste en moi.
.Joli cocon, belle harmonie, famille paisible, quand tout autour de nous, souffle le vent. Le temps gronde ses rancunes et ses amertumes du passé. Quand dame Maladie frappe aux portes des gens qui s’ennuient.
Que vais-je jouer la folle et partir en si grande tempête.
Mais l’ivresse d’une évasion, le plaisir d’un instant volé, caché… la quête encore et toujours de braver l’interdit coquin et sournois. Ne peut-il avoir un autre visage celui-là ?
Si j’étais fromagère, j’aimerai n’avoir rien que pour moi les plaisirs du beurre, de l’argent qui vient du beurre, du pain et même du beau crémier qui les vend. On balance cette phrase comme pour ponctuer l’impossible. Mais moi je dis : « pourquoi pas ?»
Dark Vador se pointa alors devant moi et de sa voix robotique m’articula : « Dis moi fille de bâtard, aimerais-tu que ton prince charmant aille compter fleurette à autrui ? Qu’il s’en aille lancer fourreaux et bergeronnettes vers de nouvelles aventures, en prônant bien sur le plaisir universel et triomphant »
Pas sur qu’il s’exprima comme ceci mais le fond y était.
Effectivement, Yoda a fait du bon boulot, j’aurai les boules.
Mais combien de temps tiennent ces belles phrases de sages sans taches.
En une image, une respiration, un battement de cœur, la flamme étouffée revit.
Invincible, elle me consume à mon propre jeu.
Jeu de fou, jeu de vie, je tue il…

Dim's instant