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Bénin mais pas TroP


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envoyé par garmot

PAUV MEUFS LAND'

Ma PouBeLLe GéAnTe

GhoSt By ChriS

mercredi 23 juillet 2008

Des Compositions ( à même le soi)

Analyse idéologique du berceau de la création.

Le bonheur est une pause. Une phase de transition où le corps et l'esprit se repose, récupère, se gorge d'instant qu'il prefère placarder dans son souvenir plutot que de les répéter ad vitam.
Puis vient ou revient l'heure du questionnment, de l'entre deux, du tatonnement. Les molécules inspiratrices se forment et se reforment.
L'adrenaline du bordel et du chaos se préparent sur les starting blocs. Les mots riches de sens se retroussent les manches s'apprêtant pour un nouveau voyage.
L'ère du serein touche à sa fin. De nouvelles larmes vont couler, degivrant instantanément les sentiments figés.
L'ephemère bonheur va reprendre sa place dans le cadre du salon, redevenir le parapluie d'apres la tempête, le bois d'une cheminée sans vie. Mais d'abord il faut l'eteindre, l'abandonner, le laisser mourir pour mieux y revenir.
Il est temps présent de s'atteler, d'invoquer le père de toute inspiration, le puit de toute création: Le Manque.

mardi 22 juillet 2008

CLASH



"Kind of peace" de Faithless

C'est fini !
Cette fois c'est la bonne.
Je veux me sentir LI-BRE...
Me Libérer d'un poids inutile qui pèse mes pensées et ralentit ma vie !
Mettre son visage au rayon souvenirs.
Il n'est que passé à présent.
Un passé fourni, laissant un vide qui n'attend plus.
Ce fut fort, intense, destructeur et egoïste.
Aujourd'hui la lumière se fait à tous les étages...
Eclaboussant ma conne naïveté.
A force de voulolir faire grossir le puzzle, celui-ci n'avait plus de vrai visage.
Je voulais croire encore à de l'inattendue. Mais le manteau de "Dorian" est lourd et impotent. Les mots sont bien peu de choses quand les gestes ne suivent pas.
Le clown perd son maquillage et le magicien, ses tours.
Tourni-coton, tourni-cotti, si seulement... Et si...
Fi-NI
Le plus dur sommeille dans le self-control, le tiens-bon !
Mon compte est bon de fausses envolées, de croyances stupides sorties d'un tiroir poussiereux
Réussir à se regarder dans le mirroir et se dire: "Il s'est joué de moi..." relève du miracle d'honnêteté envers soi-même.
Réussir à comprendre que tout n'était que Flan garni sans consistance.
Rêve et idéal planqués derrière le dos.
Réussir à tout jeter d'un revers de main.
En ai-je seulement la force, la piqure de conviction sera-t'elle assez tenace?
A ce jour je veux m'en croire capable. J'en ai plus qu'assez de "gérérmier" ma faiblesse. Elle est ce puit sans fond dont je n'arrive pas à agripper les parois.
Glissantes, sournoises, mielleuses à l'image de son visage.
Assez d'espoir sans force. De lendemain aussi faux que le violon d'une première leçon.
il ne me reste plus qu'à deposer ces mots sur ma bouche et de les lui souffler...
Doucement mais surement, en un bruissement eternel et joli.

Dim's instant