La BêTe Ki MoNTe Ki MonTe...

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Bénin mais pas TroP


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envoyé par garmot

PAUV MEUFS LAND'

Ma PouBeLLe GéAnTe

GhoSt By ChriS

mardi 28 octobre 2008

EcHeC et MaT



"Hometown glory" de Adèle


Et voilà, la partie vient de se terminer.
Echec et mat la petite.
Comme une grande, elle a dressé les remparts de sa propre forteresse et s’étonne que personne ne la franchisse.
Le jeu était perdu d’avance. Déséquilibré à la racine, fuyant à l’arrivée. Les coussins sous mes pieds deviennent durs, me voilà dans cette dure réalité de la vie : le doute !
Après le rêve, le fantasme, l’utopie, voici le temps des questions, de la balance, des poids infernaux qui se battent la bascule. Les bons souvenirs passés au crible, fouillés comme de vulgaires terroristes à l’embarquement. Que faire de ce cœur qui continue de battre comme si la passion continuait d’exister ? A-t’elle seulement été réelle un jour ?
N’était-ce pas le fruit d’une imagination en manque de vie.
Aujourd’hui je jette des mots qui n’ont plus de sens. J’erre dans des questionnements sans fin, sur des mots creux et fatigués. Fatigués de faire comme si de rien n’était. Fatigués de trouver ceux qui font bien, qui font rire…
Se laisser tomber, fermer les yeux, remplir son cœur de vide, de distance, de brouillard. Ne plus rien voir, ne plus ressentir l’extrême…Jamais !

lundi 8 septembre 2008

DeuX VenTs



B.O."Lord of War" d'Antonio Pinto

Il me pousse, encore et toujours.
Je le sens dans mon dos , dans mon cou, il me siffle un changement de cap.
Mes yeux reste aveugle et mes oreilles sourdes.
C'est fou de rester figé à ce point sur un instant donné.
Tout vous pousse à bouger mais vous restez là. Coi !
Dans l'attente d'un miracle qui ne viendra pas.
La haut c'est la bataille infernale. La lutte sanglante de deux mondes qui s'affrontent. La réalité, encore elle et le rêve, sublime et rebel.
Je suis l'objet de mon désir et l'instrument d'une vie qui ne m'a pas choisie.
A chaque pièce que je dispose, le vent d'ouest souffle et fait s'envoler mes espoirs.
A chaque espoir exprimé, le vent d'est rie aux eclats et emporte avec lui mon sourire de demain.
Les bourrasques n'y feront rien. Je reste là, droite comme une route sans âme.
Perdue dans cette folie qui me consume encore et toujours.
Le vent du sud m'apporte alors une feuille sur laquelle je peux y déposer mon secret.
lettre apres lettre, je réalise sa bêtise. Mais qu'a cela ne tienne, je continue à me perdre dans ce labyrinthe aux impasses d'idées folles.
La lumière du rêve me guide et m'hypnotise. J'y crois encore et ce j'en ai bien peur jusqu'à ma mort.
Mes pieds ne touchent plus terre, mon corps enlace les abymes d'un futur qui n'existera jamais.
Je me convaincs de m'y sentir bien et cela me suffit.
Fermer les yeux... Sentir le vent du nord emmener mon âme vers un ailleurs meilleur.
Changement de couleur, changement de regard...
Deux vents pour escort je me fonds dans le paysage. Prête pour le grand saut vertigineux de l'inlassable et collante vie ordinaire.
Aujourd'hui j'enterre mn âme.
Mais surtout, regarder devant !

mercredi 6 août 2008

MisE à FiN



"Into the wild" BO by Michael Brook

Coup de massue, coup de blues... Coup de bol??
Je viens de tirer ma dernière cartouche. Mon bras n'a plus de force comme le reste de mes membres. J'ai mis toute mon energie dans cette ultime epreuve salvatrice.
Je n'y crois pas bien encore. Pour que ça marche, il me faudrait un ecriteau en lettre de neon dans le visage me clignotant: "Ca y est tu l'as fait...tu l'as renvoyé dans ses 22.. tu as reussi...". Mais j'ai la tête dure et les coups de phrases marteau se cassent sur mon crâne têtu. J'ai le coeur en morceau et le sparadrap est en vacances.
Fin d'apres-midi, jardin d'enfant, les fesse posées sur une balançoire, j'abandonne au rythme des vas et vients, mon âme. De la haut je la regarde pleurer...
Je réalise alors qu'il m'est difficile de savoir si elle pleure de rire ou de chagrin.
Je m'approche d'elle et m'empresse de le lui demander.
"Tu vois cette balançoire sur laquelle je suis? Dit mon âme, et bien elle semble s'equilibrer d'elle même. D'un côté le lourd fardeau du manque, de la dure realité froide et silencieuse. De l'autre, le soulagement, la liberté, le sentiment d'avoir accompli quelque chose de bon pour soi."
Le vent, encore taquin vient jouer de son influence et parfois la fait pencher cruellement. C'est alors que tes yeux se mettent à pleurer et que le monde te semble morne et gris.
Un oiseau libre, viendra alors se poser sur l'autre côté et redonnera le sourire à tes joues rouges. Guette au petit matin la rosée vierge, déesse de toutes les utopies régénératrices."
Me vl'a bien, j'avais qu'une envie, flanquer une bonne gifle à cette âme pompeuse et sans vie. Lui crier dans les bas-fonds que c'est ce genre de manège qui me consume et nuit à mon equilibre.
Juste avant qu'elle ne s'en aille, je me suis approchée d'elle et tout doucement j'ai chanté:
Libre, je ne sais pas encore.
Mais j'y tends
Sereine, j'y crois pas trop
mais je guette
Vide, ça surement
Mais d'où?
Optmiste, j'en conviens
Mais jusqu'à quand?
Passionnée, je signe
Mais avec qui?

mercredi 23 juillet 2008

Des Compositions ( à même le soi)

Analyse idéologique du berceau de la création.

Le bonheur est une pause. Une phase de transition où le corps et l'esprit se repose, récupère, se gorge d'instant qu'il prefère placarder dans son souvenir plutot que de les répéter ad vitam.
Puis vient ou revient l'heure du questionnment, de l'entre deux, du tatonnement. Les molécules inspiratrices se forment et se reforment.
L'adrenaline du bordel et du chaos se préparent sur les starting blocs. Les mots riches de sens se retroussent les manches s'apprêtant pour un nouveau voyage.
L'ère du serein touche à sa fin. De nouvelles larmes vont couler, degivrant instantanément les sentiments figés.
L'ephemère bonheur va reprendre sa place dans le cadre du salon, redevenir le parapluie d'apres la tempête, le bois d'une cheminée sans vie. Mais d'abord il faut l'eteindre, l'abandonner, le laisser mourir pour mieux y revenir.
Il est temps présent de s'atteler, d'invoquer le père de toute inspiration, le puit de toute création: Le Manque.

mardi 22 juillet 2008

CLASH



"Kind of peace" de Faithless

C'est fini !
Cette fois c'est la bonne.
Je veux me sentir LI-BRE...
Me Libérer d'un poids inutile qui pèse mes pensées et ralentit ma vie !
Mettre son visage au rayon souvenirs.
Il n'est que passé à présent.
Un passé fourni, laissant un vide qui n'attend plus.
Ce fut fort, intense, destructeur et egoïste.
Aujourd'hui la lumière se fait à tous les étages...
Eclaboussant ma conne naïveté.
A force de voulolir faire grossir le puzzle, celui-ci n'avait plus de vrai visage.
Je voulais croire encore à de l'inattendue. Mais le manteau de "Dorian" est lourd et impotent. Les mots sont bien peu de choses quand les gestes ne suivent pas.
Le clown perd son maquillage et le magicien, ses tours.
Tourni-coton, tourni-cotti, si seulement... Et si...
Fi-NI
Le plus dur sommeille dans le self-control, le tiens-bon !
Mon compte est bon de fausses envolées, de croyances stupides sorties d'un tiroir poussiereux
Réussir à se regarder dans le mirroir et se dire: "Il s'est joué de moi..." relève du miracle d'honnêteté envers soi-même.
Réussir à comprendre que tout n'était que Flan garni sans consistance.
Rêve et idéal planqués derrière le dos.
Réussir à tout jeter d'un revers de main.
En ai-je seulement la force, la piqure de conviction sera-t'elle assez tenace?
A ce jour je veux m'en croire capable. J'en ai plus qu'assez de "gérérmier" ma faiblesse. Elle est ce puit sans fond dont je n'arrive pas à agripper les parois.
Glissantes, sournoises, mielleuses à l'image de son visage.
Assez d'espoir sans force. De lendemain aussi faux que le violon d'une première leçon.
il ne me reste plus qu'à deposer ces mots sur ma bouche et de les lui souffler...
Doucement mais surement, en un bruissement eternel et joli.

dimanche 29 juin 2008

L'aMer est DéçUe



Dégustation Fink "Under The Stars"

Un jeu de mot qui en dit long sur un sentiment perturbant.
A mon âge, continuer ainsi ce jeu masochiste sans raison d'être.
Cette chasse à sens unique où je suis la seule à en respecter les regles.
Tirer un grand trait sur une page blanche tachée d'erreurs indélébiles.
Telle est ma mission...
Pleine de mots que je deteste, je lutte contre un moi-même pervers et sournois.
Une guerre sans-merci où le bon sens n'est pas de mise.
Où l'equilibre n'est que futilité, le bonheur, renié, la raison baffouée.
Vive le chaos d'un sentiment diabolique et collant.
Une seconde peau de vie decadente au service d'un amour pourri.
D'un idéal pessimiste sans fondement, d'un espoir pueril à jamais.
Parce que c'est ça mon présent: fantasmer sur un rien qui crie être.
Croire en l'impossible, pourvu qu'il existe.
Le n'importe quoi au masculin.
La haine un dimanche matin ;-)
Le choc répété d'une illusion ratée.
Combien de temps vais-je continuer à me cogner la tête contre les murs?
A me battre contre moi-même?
Obsédée, Lâche, perdue, dieu qu'il doit être bon de se fouetter avec ces mots là.
Quel est donc ce plaisir que je me cache si souvent? Que n'ai-je les stigmates d'une jouissance si forte.
Que la soumise s'exprime et hurle sa douleur au lieu de jouer l'equilibriste enjouée et insensible. Que n'en vois-je au moins la trace. Que cet affront de moi-même eclate au grand jour.
Hypocritement vôtre, j'aime souffrir seule.
Nouvel passion que celle-ci
Passe-temps non favori mais bien nourri...
Je cultive un non-sens, un hersatz du passé imprimé sur mes bottes qui emboite mon pas et me ralenti.
Mais pour combien de temps encore?...

mardi 3 juin 2008

Je tUe IL

Je n’irai pas à ce rendez-vous.
C’est l’ultime test de vérité d’avenir.
Suis-je vraiment faite pour l’adultère ou n’étais-ce fait que pour me permettre de rencontrer ma moitié.
Cendrillon que fit-elle après avoir retrouvé sa pantoufle de vair ?
Continua t-elle à chercher d’autre prince charmant ? Non bien sur, puisqu’elle trouva celui qui la délivra de ses chaînes de belles-soeurs.
Je n’ose le dire autour de moi, à mes amies, ma famille. Leurs avis ne serviront qu’à renforcer d’avantage le doute qui persiste en moi.
.Joli cocon, belle harmonie, famille paisible, quand tout autour de nous, souffle le vent. Le temps gronde ses rancunes et ses amertumes du passé. Quand dame Maladie frappe aux portes des gens qui s’ennuient.
Que vais-je jouer la folle et partir en si grande tempête.
Mais l’ivresse d’une évasion, le plaisir d’un instant volé, caché… la quête encore et toujours de braver l’interdit coquin et sournois. Ne peut-il avoir un autre visage celui-là ?
Si j’étais fromagère, j’aimerai n’avoir rien que pour moi les plaisirs du beurre, de l’argent qui vient du beurre, du pain et même du beau crémier qui les vend. On balance cette phrase comme pour ponctuer l’impossible. Mais moi je dis : « pourquoi pas ?»
Dark Vador se pointa alors devant moi et de sa voix robotique m’articula : « Dis moi fille de bâtard, aimerais-tu que ton prince charmant aille compter fleurette à autrui ? Qu’il s’en aille lancer fourreaux et bergeronnettes vers de nouvelles aventures, en prônant bien sur le plaisir universel et triomphant »
Pas sur qu’il s’exprima comme ceci mais le fond y était.
Effectivement, Yoda a fait du bon boulot, j’aurai les boules.
Mais combien de temps tiennent ces belles phrases de sages sans taches.
En une image, une respiration, un battement de cœur, la flamme étouffée revit.
Invincible, elle me consume à mon propre jeu.
Jeu de fou, jeu de vie, je tue il…

lundi 26 mai 2008

L'aTTenTe...



Martina Topley Bird "Razor Tongue"

Je m’envole rien ne va plus.
Tu reviens donner de la vie dans une tête qui ne respirait plus.
Mon corps est en apesanteur, mes sens en éveil…Je rêve
Dis moi, bel imprévu, combien de temps vas-tu encore me faire attendre ?
Combien de mots vont-ils sortir de ta bouche avant de t’en servir ?
A quand une étreinte infinie dans un bois joli.
Donne moi ton temps, tes bras.
Le pourpre de ta peau contre mes caresses pressées.
La chaleur de ton absence contre mes insomnies
Je rougis de mon impatience, tu tyrannises mes envies.
J’envoie valser pendant que tu nies l’évidence

Rester là
Regarder ton ombre, ton corps qui me fait dos
Guetter l’aube,
L’aube d’un élan, d’une fuite à deux où personne ne pourra jamais nous rattraper
Je déverserai sur toi les ambrins de ma folie, les courbes de mon amour infini et obsédé.
Mon âme insondable deviendrait cristal au son de ta voix.
Mon corps « injouissible » se tordrait au touché de ta peau.
Mes yeux se ferment, mes lèvres s’assèchent, mon cœur se fige….
Je t’attends.

jeudi 17 avril 2008

Quand le vide fait le plein

Quand le vide fait le plein c'est qu'il est déjà trop tard...
On croit que l'on maîtrise encore la situation mais non.
Tout commence par un silence, au départ apaisant puis oppressant. Je regarde mon corps dans le miroir. Mes membres sont inertes: mes seins tombent, mes jambes reflètent le mou d'un sport oublié. Les rides conquièrent mon visage en héros du temps.
Je regarde passive, impuissante la vie me bouffer tout cru. J'ai donné la vie avant qu'elle me reprenne.
Le vide, lui, tisse sa toile, discret, insidieux et puissant. La fougue de l'insouciance termine sa course et l'élixir de l'envie n'a plus d'effet.
Je cherche, je puise mais mon sac est vide !
Qui donc a mangé mes réserves. Qui s'est englouti trente ans d'inspirations débordantes? Je regarde mes mains, cherchant une réponse, en vain.
Elles se retournent et m'ignorent. " Sous tes yeux morts, nous vieillissons sans agir. Figées nous sommes, desséchées nous finirons sans que tu aies eu le temps d'agir."
Je me lève, mes jambes me lâchent à leur tour et se mettent à trembler. Je tombe à genoux les supplient de me porter encore un peu. Mais il est trop tard. le vide est en moi et me consume de son néant gourmand. Plus de but, plus d'envie, tous sont à l'abri. Difficilement, j'amène mon corps vers une ultime union: Allumer une cigarette.
Le briquet se dresse victorieux de connaître à jamais une destinée toute tracée même si lui aussi va se vider. Il aura servi à quelque chose.
La cigarette aux lèvres jubile, la flamme va l'embraser, elle va vivre son heure de gloire elle aussi, consumer sa tâche vaillamment, aller et venir dans une fumée insolente.
Mes poumons crient, mes yeux pleurent, ma gorge se nouent,je resserre mes doigts en une dernière étreinte sur ce mégot à bout de souffle. J'aspire, j'expire, mon corps se crispe. Mes membres se révoltent, ils luttent contre ce vide insistant. Ma tête appellent à l'aide, mes cheveux dansent et invoquent l'espoir d'une idée... Mes yeux se font plus que jamais séducteurs et scrutent un futur flou lui demandant de leur octroyer son attention. Je sens l'affrontement proche. Le sol se dérobe sous mes pieds, je prends de l'altitude alors que mon corps s'envole dans un mouvement de vagues spasmodiques. Puis ce sont mon ventre et mes hanches qui suivent le rythme d'un son silencieux. Bouger pour faire le vide. Avant que ce vide termine de m'éteindre. Occuper l'espace avant qu'il m'aspire. Aimer le temps afin qu'il me déride. Je retombe molle et fatiguée, mais fière de n'avoir succombé à ce néant persistant.
Du moins pour aujourd'hui...

Mais qui donc vaincra?
Conseil de degustation sonore et inspirations
par LAMB "One"

L'aDuLTe eRre

C'était hier. Il était là assis à côté de moi, ses cuisses bougeaient au rythme de l'artiste. Je sentais le tissu de son jean frotter contre le mien. Les vibrations du groupe emplissaient le stade et tous les vides que j'avais en moi. Du coin de l'oeil, je guettais ses mouvements. Mon coeur en redemandait. Mes mains sur les genoux, en pleine négociation intérieure exprimaient: vais-je oser effleurer sa jambe du bout des doigts? A peine le début d'un signe de ralliement entre mes espoirs et sa jubilation. La peur d'être collante, de la groupie qui ne se détache pas. En un concert, 7 ans de questions resurgirent encore quasi intact. Pourquoi lui , pourquoi cette ténacité, à quoi cela me sert-il?comment démêler l'objectivité du ressenti. C'est en cette dernière que l'énigme "N" vit et prospère depuis des années. Quelque soit mes rencontres, ma vie, mes amours, il est là et ne s'efface pas. La boîte de Pandore au masculin. Le rationnel au galop se charge d'alléger mon quotidien en phrases toute faites ou autres métaphores malines. Mais aucune d'entre elles ne réussissent à calmer le feu qui brûle en moi. Les instants passés avec lui ne laissent pas le temps d'être rassasiée. C'est ce qu'il aime et l'exalte. L'image de l'homme parfait "expresso", instantané. Mon Dorien Gray. J'ai 30 ans et toutes mes dents (ou presque). Je me targue d'être une femme au regard juste sur la vie. J'aime aller au fond des choses et comprendre les émotions qui nous traversent. Il est clair que si l'énigme était résolue, je n'écrirais pas là aujourd'hui et l'enjeu serait moins de taille. Mais je suis comme une aveugle parmis les loups. L'instinct ne suffit plus, il faut réagir avant de se faire bouffer. J'ai besoin de réponses, de témoins, d'un rationnel inconnu qui m'aideront à me défaire de ce fantôme, si vivant encore à mon esprit.

Dim's instant